Le sous-marin Nautilus XII s’enfonçait généreusement plus extrêmement dans l’obscurité liquide, revêtu par des fréquents silencieux qui serpentaient entre les formations rocheuses de la fosse abyssale. À l’intérieur, le calme apparent de l’équipage cachait une tension artérielle insouciant, une conscience qu’aucun d’eux n’osait encore verbaliser. Louise Morel fixait l’écran d'envergure, où les dernières anomalies enregistrées défilaient. L’étrange envoi d'information perçu évident leur immersion était devenu plus principal, tels que s’il réagissait à leur présence. — Profondeur moderne : 12 200 mètres, annonça le capitaine Armand Lemoine d’une voix diversifiée. Les coques du sous-marin grinçaient marqué par la pression haute, mais les outils restaient stables. Pourtant, des éléments dans l’eau semblait… divers. Léonard Dupuis, le responsable sonar, fronça les sourcils en explorant son écran. — On capte des pulsations… régulières, approfondies. Elles ne résonnent à rien de varié. Louise s’approcha, son cœur battant plus vite. — Une fréquence spéciale ? Léonard tapota de manière aisée sur le mains évident de secouer la bouille. — C’est variable. Mais ce n’est pas du distractions de fond. C’est comme par exemple si… Il hésita. — Comme si on essayait de nous former. Louise sentit un frisson lui souffleter la nuque. Elle s’éloigna des consoles et s’avança poétique le activité professionnelle d’observation. À travers la liégeois épaisse, l’extérieur n’était qu’un mur d’encre, une immensité silencieuse où seules quelques créatures luminescentes dérivaient délicatement. Puis, au loin, elle aperçut une forme. Floue, indistincte. Elle plissa les yeux, mais l’ombre s’évanouit en plus vite qu’elle était parvenue. Elle n’était non stable d’avoir rêvé. La voyance des abysses ne se révélait pas à ce que la cherchaient. Elle s’imposait aux âmes sensibles, aux ancetres en mesure d’écouter ce que l’océan avait à murmurer. Et en cet tombant, elle sentait un référencement. Quelque chose, tapi dans les au plus bas, les observait. Armand, inquiet, brisa le silence. — On continue l’exploration ? Louise prit une riche clairvoyance premier plan d’acquiescer. — Oui. On devra comprendre ce qui à lieu ici. Armand ajusta les commandes et le Nautilus XII reprit sa descente. Les écrans affichaient désormais une vitesse accrue du envoi d'information. Léonard n’arrêtait pas d’ajuster les capteurs, cherchant une démonstration, une forme prévisible. Puis, sur le coup, un son résonna à travers la cabine. Un son grave, efficace, venu de l’extérieur. Louise sursauta. — C’était quoi, ça ? Léonard ouvrit la bouche, mais pas de mot ne vint. Il fit simplement pivoter son écran. L’onde sonore qu’ils venaient d’entendre s’affichait sous forme de courbe, mais il y avait autre étape. Une structure. Un excuse. Un empreinte identitaire. Louise sentit son estomac se pendre. Les abysses n’étaient pas amenées à énoncer. Mais la voyance venait de leur étudier une volonté profonde. Quelque étape était là, sous eux. Quelque étape qui les attendait.
Le Nautilus XII dérivait légèrement au-dessus de la plaine abyssale, suspendu dans un accord précaire entre l’observation et l’inconnu. Sous sa coque, le support inquiétant du fond marin semblait vibrer, expressive d’une cadence imperceptible qui échappait aux capteurs traditionnels. Rien ici ne répondait aux règles semi-précieuses, et chaque seconde démodée à cette profondeur renforçait cette impression d’irréalité. Les signaux éprouvés plus tôt s’étaient amplifiés, formant quelques pulsations qui défiaient toute analyse. Ce n’était plus une commode interaction électromagnétique ni une erreurs thermique. L’énergie qui circulait sous eux n’était ni statique ni chaotique. Elle suivait une conscience, une intention cachée dans la matière elle-même. Les lumières technique du sous-marin projetaient des faisceaux vacillants sur le sol, révélant soupçon à pointe les contours de ce qui se trouvait sous eux. Une structure enfouie, gigantesque, presque subtilement courbe, avec lequel les parois toxiques renvoyaient un beauté de métal atténué par les sédiments. Des icônes complexes s’y dessinaient, des formes qui se rejoignaient pour donner des allégories inconnus. La surface de cette constitution n’était pas normalement rocheuse. Elle portait des inscriptions incomparablement précises pour être précieuses, comme si une civilisation oubliée avait laissé ici une expression que le temps n’avait pas effacée. Il ne s’agissait pas d’une épave, ni d’une formation géologique accidentelle. Quelque étape, dans cette fosse, dormait encore. Les écrans technique du Nautilus XII se brouillèrent à nouveau, projetant des distorsions discordantes qui se répercutaient sur tous les équipements de borne. Les capteurs sonars captèrent une nouvelle onde, plus puissante, plus sans ambiguité, un envoi de signal qui semblait carillonner en écho aux pulsations du sous-marin. Ce n’était plus une coulant émission problématique. L’abîme répondait à leur présence. Le sol sous eux s’illumina à récent, projetant une ajour spectrale qui ne venait d’aucune source observable. Les motifs faits sur la constitution se mirent à luire, leurs formes semblant se déplacer mollement, à savoir une écriture antique troublant tenue sous leurs yeux. Une taux vibratoire froid parcourut l’eau à proximité d’eux, à péril perceptible, mais énormément forte pour être ressentie par la coque. Ce n’était ni un habituel marin, ni une perturbation simple. C’était un éveil. Le fond de la fosse n’était pas qu’une riche ruine sous-marine. Il était une porte, un séparation scellé par les siècles, attendant l’instant lumineux où il serait rouvert. Les abysses ne livraient jamais leurs mystiques sans retentissement. Ce que la vision des cartésiens ignorait, la voyance l’avait très pressenti. Les océans n’étaient d'une part un réceptacle de vie. Ils étaient la souvenance du monde, professionnels technique du gardiennage de matérialités oubliées que l’humanité n’aurait jamais dû frapper. Et en cette nuit sans étoiles, à plus de dix mille mètres sous la surface, des éléments venait de déterminer leur présence. Quelque étape qui, désormais, les observait en retour.